
*Point de vue de Ingrid*
Moi -regarde la route- Comment avait vous fait pour vous mettre dans cette situation ?
Il pose les yeux sur moi.
Futé -la regarde- vous parlez du coffre ?
Moi -le regarde quelques secondes avant de regarder la route- oui !
Futé -la regarde- C'est très simple, moi et mes amies, nous sommes venue à l'appel à l'aide des habitants de la ville.
Moi -le regarde- Comment ça ?
Futé -la regarde- Est bien un groupe de résistants nous à contacter afin que nous puissions donner une leçon à ses hommes qui tente de faire leurs lois.
Moi -le regarde- Est, vous faites cela souvent ? -regarde la route-
Futé -la regarde- chaque fois que l'on a besoin de nous ! Mais notre plan est tombé à l'eau dès qu'ils ont pris le dessus. Mes amies sont prisonnières et pour moi, vous connaissez la suite.
Moi -le regarde- je vois. Donc vous aidez les personnes qui ont une injustice ?
Futé -la regarde- tout à fait ! -souris-
Moi -Regarde la route- en tout cas avez-vous un plan une fois que nous serons sur place ?
Futé -la regarde- À vrai dire pas vraiment ! Mais je suis sûr que sur place, nous allons en trouver une.
Je le regarde, génial, on y va sans plan. Je me demande si aller sans plan sera une bonne solution. On verra bien comment cela donnera une fois las-bas. En tout cas de ce qu'il m'a dit, cela doit être des personnes gentilles rien que pour faire ce qu'ils font. Malheureusement dans le monde où l'on vit il y a tellement d'injustice. Des hommes qui se croient tout permis. D'un coup, deux voitures qui me sont plus que familière apparaît dans mon rétroviseur. Je remarque que ces deux des voitures de ces cinq hommes.
Moi -regarde le rétroviseur- Oh non !
Futé -la regarde- qu'est-ce qu'il y a ?
Moi -le regarde- Ce sont leurs voitures !
Futé -regarde derrière- ceux qui vous cherchent ?
Moi -le regarde- oui !
Futé -la regarde- Pas de panique, je ne pense pas qu'ils croient que c'est vous !
Quand ces hommes commencent à nous tirer dessus.
Moi -le regarde- vous croyez ?!
Futé -la regarde- je retire ce que j'ai dit ! -prend l'arme à l'arrière et passe sa tête sur la fenêtre afin de tirer- Commencer à accélérer !
Moi -Accélère plus fort- Très bien !
J'accélère un peu plus dépassant les 120 kilomètres à l'heure. Les voitures de ces hommes en fait de même. Allez réfléchis Ingrid comment réussir à les semer. Je vois un grillage où s'est marqué interdiction d'entrée. Futé continue de leur tirer dessus. Je suis à quelques mètres de la grille.
Moi -crie- Futé ! Je crois que j'ai un plan.
Futé -crie- lequel ?
Moi -crie- Revenez par ici !
Ce dernier rentre sa tête de la fenêtre et remarque le grillage.
Futé -la regarde- Oh non !
Moi -le regarde- Oh si !
On réussit à casser le grillage et passer ce dernier. Je remarque que les deux voitures nous suivent toujours. J'accélère un peu plus allant maintenant à 140 kilomètres à l'heure. Je décide d'aller vers la droite. Futé se remet vers la fenêtre afin de leur tirer dessus. Celui-ci se fait toucher dans son bras droit. Maintenant, je comprends pourquoi c'était marquer interdiction d'entrée. Devant nous se trouve une falaise. À l'allure où je vais, j'arriverais pas à faire demi-tour sans que ce dernier tombe dedans.
Moi -crie- il y a une falaise devant nous !
Ce dernier regarde et me regarde. Moi et Futé, on se regarde ayant eu la même idée : sauter de la voiture. La voiture tombe dans la falaise. Je regarde Futé et me lève pour le rejoindre.
Moi -s'approche de futé et se met à sa hauteur- Est ce que ça va ? -Vois qu'il saigne un peu du bras-
Futé -la regarde- ça va ! Et...
On entend comme des flingues. On regarde devant nous pour voir ces hommes devant nous, pointent leurs armes sur nous.
L'homme deux -les regardent en souriant- Tiens tiens qui vient de se faire prendre dans nos filets !
Moi -le regarde- vous avez eu juste de la chance qu'il y est cette grosse falaise devant nous.
L'homme deux -se penche un peu vers eux- on te retrouve toujours !
Moi -s'approche son visage un peu- et moi, je fuis toujours !
L'homme deux -la regarde en souriant- Plus cette fois !
Moi -le regarde- C'est ce qu'on va voir !
L'homme deux -souris- Emmenez les tous les deux ! Le boss va être content de savoir qu'on l'a retrouvé ! Et qu'on la tient pour de bon cette fois !
Ils nous menottent moi et Futé, cet homme que je hais plus que tout s'approche de moi.
L'homme deux -souris- tu vois pourquoi je suis sûr que tu ne fuiras pas cette fois... C'est parce que mon boss a eu la brillante idée d'avancer le mariage.
De quoi il parle ? Je le regarde sans rien comprendre.
L'homme deux -souris- dans une heure est demi, tu vas te marier à mon cher Boss et tu ne pourras pas t'en allez cette fois-ci.
Moi -lui crache dans la figure- je vous hais toi et ton boss !
L'homme deux -souris et regardent les autres hommes- vous avez entendu elle me hait ! -ris-
Ce dernier me regarde avant de me donner un coup-de-poing dans le ventre. Je tombe à genoux de la douleur. Futé veut répliquer, mais il se fait tenir par deux d'entre eux.
Futé -énervé- vous n'êtes que...
L'homme deux -regarde Futé en le coupant la parole- des quoi ? Allez cette fois, on les emmène !
Il nous prend et nous met dans l'une de leurs voitures.
L'homme deux -Regarde l'un- Mike ?
Mike -regarde l'homme deux- oui ?
L'homme deux -regarde Mike- Appelle le Boss pour dire qu'on la tient !
Mike -regarde l'homme deux- Très bien
Ce dernier s'assoit côté conducteur et commence à mettre la voiture en route. Je regarde Futé et lui chuchote un désolé. Ce n'était pas prévu qu'il soit pris avec moi. J'espère qu'ils vont rien lui faire. Je regarde l'homme à côté de moi. Et voit que dans sa ceinture, il tient la clé des menottes. Je donne un rapide coup de coude à futé et lui montre les clés des menottes. Il regarde discrètement avant de me faire un clin d'½il. Je me demande où on l'on va aller. Je suis sûr que ce n'est pas dans la même petite cabane que la dernière fois. Après plus d'une trentaine de minutes, nous sommes arrivées dans une petite maison blanche. Il nous sort de la voiture. Et nous fait rentrer à l'intérieur. Ils nous montent à l'étage et nous placent dans une chambre où bien sûr la fenêtre à des barreaux.
L'homme deux -souris- vous allez attendre sagement que le boss arrive. De toute manière, vous ne pourrez pas vous échapper.
Il repart avec le sourire. Je vais lui faire bouffer un jour son sourire à celui-là. Je m'approche de la porte et entends qu'il y a quelqu'un qui garde la porte. Il fallait prévoir qui fasse garder la porte. Bon plus qu'à trouver un plan pour sortir de là.!
*Point de vue externe*

Pendant ce temps-là, au fin fond d'une ville à proximité de Buenos Aires : Balcarce. Huit hommes dont le maire de la ville rentre à l'intérieur du commissariat. Il sourit voyant les trois hommes dans la prison.
Le maire -souris- vous voyez Smith quand on commence à toucher à mes affaires vous finissez toujours au fond de la prison.
Hannibal -le regarde- vous voyez Ricardo...-se lève- Quand des personnes malsaines comme vous commencent à faire leurs lois dans une ville, cela devient vite notre affaire !
Le maire -le regarde- qu'est-ce que vous comptez faire Smith ? -rie- Vous êtes en prison !
Looping commence à caresser son chien Billy. Le maire arrive vers ce dernier.
Le maire -regarde Hannibal- Voyer vous Smith quand vous avez comme partenaire un homme complètement cinglée qui croit avoir un chien qui est invisible, vous êtes cuit d'avance ! -rie-
Looping -se lève- Non mais dit donc vous ! Mon chien à tous de vrai ! -regarde parterre- Mais oui Billy ! Cet homme est complètement cinglé... Non mais tu vas me lâcher la jambe oui... Qu'est-ce que tu as à me mordiller comme ça ! -Caresse son chien- Waouf !
Le maire -fronce les sourcils- il est encore plus cinglé !
Hannibal -souris- Il est comme d'habitude je trouve !
Le maire -s'approche d'Hannibal- Je reviendrais ce soir !
Hannibal -souris- on vous attend avec grand plaisir après tout on ne peut pas aller plus loin !
Le maire regarde Hannibal, Looping et Barracuda avant de partir avec les policiers.
Barracuda -regarde Hannibal- J'espère que tu as un plan Hannibal ?
Hannibal -souris et sort son cigare- J'en ai toujours un. On va attendre que notre très cher maire se pointe ce soir.
Barracuda -le regarde- tu pence qu'ils ont amené où Futé ?
Hannibal -le regarde et allume son cigare- J'en ai aucune idée, mais on va le retrouver !
Looping -caresse son chien et commence à chantonner- Lalalalala !
Barracuda -regarde Looping- Mais tu vas te taire Looping ! Il y aura pas que les carreaux qui vont se tordre si tu continues !
Looping -le regarde- Voyons Barracuda... Nous savons tous que tu ne le feras pas ! Je suis trop précieux pour toi...
Barracuda -regarde Hannibal- Hannibal fait le taire sinon je m'en charge !
Looping -regarde Barracuda- Surveille ton langage Barracuda il y a des personnes innocentes !
Hannibal commence à rire.
Barracuda -regarde Looping- De qui tu me parles ?
Looping -bouche les oreilles de Billy- Je veux bien sûr parler de Billy !
Barracuda -tourne les yeux- Rhô !
Hannibal souris quand les policiers apparaissent devant eux.
Je n'arrête pas de faire les cent pas, je m'approche de Futé et m'assieds à ses côtés dans le lit.
Futé -regarde le parquet- je vous promets que je vais vous sortir d'ici !
Moi -le regarde- C'est à moi de nous trouver un moyen après tout, c'est par ma faute que vous êtes coincé ici ! -regarde sa blessure- Faite moi voir ça !
Je regarde son bras et je vois que la balle la frôler, je me lève et part chercher dans la salle de bains de la chambre de l'alcool et deux cotons. Je reviens et je mets un peu d'alcool dans l'un des cotons. Avec les menottes, ce n'est pas facile.
Moi -le regarde- Attention sa risque de piqué ! -lui nettoie la plaie avec de l'alcool- Voilà !
Futé -souris- Merci !
Je lui souris et me lève afin de déchirer le tissu du rideau. Et lui met autour de son bras afin d'arrêter le saignement. Ce dernier me regarde.
Futé -la regarde- je crois savoir comment nous sortir d'ici.
Moi -le regarde- comment ?
Il n'a pas le temps de me dire quoi que ce soit que les hommes rentrent dans la chambre. On se lève tous les deux et Futé se met de suite devant moi.
Futé -le regarde- vous ne la toucherez pas !
L'homme deux -rigole- C'est ce qu'on va voir !
Il s'approche de lui afin de le frapper, mais futée réussi à l'esquiver. Et lui donne un coup-de-poing à son tour. Deux autres hommes entrent et s'approchent de Futé. Je donne un coup de pied dans le ventre de l'un. Et Futé se charge de l'autre. Je remarque qu'il réussit à prendre la clé des menottes. Alors que futé se charge de l'homme, l'un se relève et court vers lui. Je pris le vase à côté de moi et le frappe avec. Il tombe parterre. Futé réussit à assommer l'autre en donnant un coup de pied dans la tête. Il s'approche de moi et me défait les menottes, il fait pareil de son côté. Je me mets à genoux afin de regarder si ces hommes non pas quelque chose dans leurs poches. Je vois la clé d'une de leurs voitures. Je me relève et m'approche de Futé, je lui donne la clé. Puis nous prenons chacun un pistolet.
Moi -le regarde- ils ne sont que trois, alors qu'ils sont cinq normalement !
Futé -la regarde- Faut restez prudent !
Il me prend ma main et part vers la direction de la sortie. Mais les deux derniers hommes restants nous barrent le chemin dans l'escalier. Moi et Futé, on part de l'autre côté. Mais malheureusement n'y n'avait aucune issue. Futé me regarde, je pense qu'il a l'idée de sauter. Je vois en bas le boss et ses deux gardes du corps.
Futé -la regarde- nous devons sauter c'est la seule solution !
Moi -le regarde- Bien quand on a pas le choix !
Heureusement que ce n'est pas vraiment haut. On s'élance tous les deux et on tombe sur ses deux gardes du corps. Il prend Futé par le col, je lui donne un coup de pied dans le dos. Je continue de tirer en haut et aide à relever Futée puis nous partons vers la sortie.
Le Boss -regarde les hommes- Dépêcher vous de les rattraper !
On prend l'une de leurs voitures et Futé mettent directement le contact. Et on commence à rouler à toute vitesse. Je regarde par la fenêtre, je peux voir qu'ils nous suivent. Je passe mon bras sur la fenêtre ouverte et leur fais un joli doigt d'honneur.

TraashxAangel, Posté le lundi 29 août 2016 12:02
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